Jésus me (Luisa) dit: “Par le bon air ou le mauvais air qu’une personne respire, son corps est purifié ou infecté. La mortifiaction doit être l’air de l’âme. Par l’air que l’âme respire, on reconnait si elle est saine ou malade. Si une personne respire l’air de la mortification, chaque chose sera purifiée en elle; tous ses sens sonneront d’un même son concordant. Mais si elle ne respire pas l’air de la mortification, tout sera discordant en elle; elle aura une haleine répugnante. (…) – Le Livre Du Ciel, Tome 3 16 février 1900